« Vercingétorix encourage ses compatriotes à prendre les armes pour la liberté de la Gaule. […] il ne lui faut pas longtemps pour avoir à ses côtés les Parisii, les Pictons, les Cadurques, les Turons, et tous les autres peuples gaulois qui touchent à l’océan.
À l’unanimité, on lui confère le commandement suprême. Il ordonne qu’un nombre déterminé de soldats lui soit amené sans délai. Il fixe quelle quantité d’armes chaque cité doit fabriquer ; il donne un soin particulier à la cavalerie.
À la plus grande activité, il joint une sévérité extrême. Pour une faute grave, c’est la mort par le feu ; pour une faute légère, il fait couper les oreilles au coupable ou lui fait crever un œil. »
Jules César, La Guerre des Gaules, Ier siècle av. JC.
Qu’est-ce qui oblige les Gaulois à se battre ?